Ambre Sourkov Sam 17 Sep - 1:11ÉTAT CIVIL
Nom : Sourkov
Prénom : Ambre
Sexe : Féminin
Date de naissance : 17 septembre 1987
AVANT VOTRE VENUE
Lieu d'habitation : Paris - France
Profession : Ex parachutiste de l'armée - chômage
Situation : Célibataire
Biographie : Née d'une mère française, bibliothécaire, et d'un père russe immigré, pilote de tourisme, Ambre a vécu toute son enfance dans la capitale française, entre littérature et récits des actes héroïques du grand oncle Mikhail Ilyich Sourkov, tireur d'élite pendant la Seconde Guerre Mondiale. Celui-ci, engagée dans l'armée rouge, avait été l'un des tireurs d'élites les plus prolifiques de la guerre qui avait vu naître les camps de concentration et la bombe atomique, avec, à son actif, plus de 700 cibles humaines atteintes. Et le père d'Ambre, Ivan Gregorio Sourkov, lui racontait chaque soir, au lieu de lui lire des contes de fées et autres histoires de princesses, les exploits que son frère avait accompli dans le climat froid du pays soviétique, des soirées arrosées à la vodka dans des bouges bondés de fumée âcre de cigarette , d'odeurs rances de transpiration et de rire gras de soldats ivres.Ses parents étaient très portés sur son éducation et son apprentissage de la vie. Ils la laissaient découvrir la vie à sa manière, faire ses propres erreurs et en tirer les conséquences. Bien sur, ils étaient toujours là pour elle, quelque soit le problème.
Chaque soir après l'école, Ambre rejoignait sa mère Alicia à la bibliothèque, à deux pas de l'école, où celle-ci travaillait. Et en attendant que sa mère finisse son travail, après avoir fait ses devoirs, la gamine parcourait les rayons fourmillant de millions de livres, ces portes ouvertes sur d'autres mondes, d'autres horizons, fictifs ou non. Plongée au cœur de ces péripéties, elle se voyait déjà parcourir le monde à bord d'un avion pour découvrir toutes ses choses qui la faisaient rêver.
Oui, elle avait déjà une passion dévorante pour l'aviation. Son père, pilote pour une petite entreprise qui organisait des visites de la capitale en avion, lui avait transmis son amour du vol et de la mécanique. Chaque week-end, elle profitait qu'elle n'avait pas cours, pour se glisser à côté de son père dans le cockpit, et ensemble, ils allaient traverser les nuages, tel un oiseau, ivre de liberté. Et lorsqu'ils avaient fini de s'amuser et étaient redescendus sur terre, son père lui montrait comment bichonner son troisième amour, après sa mère et elle, pour qu'il puisse voler a jamais. Il l'avait aussi initié au saut en parachute, et combien de fois avait-il failli faire une crise cardiaque en voyant sa fille ouvrir son parachute au dernier moment. Mais, ô combien cela le remplissait aussi de joie et de fierté de voir comment elle semblait en parfaite harmonie avec cet élément qu'était l'air.
Combien de fois sa mère les gronda-t-elle lorsqu'elle les voyait rentrer le soir, noir de cambouis, le visage hilare, encore renforcé par la face sévère que leur présentait Alicia. Mais bien souvent, cette dernière ne pouvait resister et finissait par se joindre à eux, « ses petits moteurs sur pattes ».
Ainsi se passa l'enfance d'Ambre, dans une atmosphère bon enfant, au sein d'une famille aimante. Elle avait appris à avoir l'esprit ouvert sur le monde et ne rêvait que de voyage et d'actions.
C'est ainsi qu'à ses 18 ans, elle s'engagea dans l'armée. Au départ, elle avait dû se battre pour prouver qu'elle avait sa place dans ce milieu machiste, toujours surpasser les autres, ne jamais montrer la moindre faiblesse. Et après quelques nez cassés et mise au tapis, les gars avaient commencé à lui faire une place parmi eux et à la respecter. Et rapidement, elle avait monté les échelons, en surprenant plus d'un qui n'aurait jamais pensé qu'une femme puisse surpasser un homme et atteindre un tel niveau. De plus, après avoir postulé plusieurs fois, avec toujours des réponses négatives, prétextant son jeune âge, (tout ça pour ne pas mentionner de discrimination sexuelle selon elle) pour rejoindre les parachutistes, elle avait été enfin acceptée, les hautes sphères ne pouvant plus longtemps faire la sourde oreille face à une telle envolée, surtout qu'elle était chaudement recommandée par ses supérieurs et professeurs.
Et c'est ainsi qu'elle intégra les « Vim Aeris Phoenix », force d'intervention inspirant la crainte et l'admiration parmi les autres soldats. Leur emblème, un phénix tribal s'accompagnait d'une devise en latin, « Nunquam victi, renasci semper », ce qui signifiait « jamais vaincu, toujours renaître ».
Lorsqu'elle était la-haut, en chute libre, elle pensait souvent à ses parents, morts quelques années plus tôt dans un accident de voiture, durant sa vingt-deuxième années d'existence. Cette annonce l'avait beaucoup bouleversée, mais rapidement, elle s'était remis en avant, avec toujours à l'esprit l'idée que ses parents seraient fières d'elle et souhaiteraient qu'elle se tourne toujours vers le futur.
Ils étaient envoyé sur les fronts de guerre et c'est au cours d'une de ces missions que quelque chose se brisa en elle a jamais, ses espoirs et ses croyances réduites en bouilli. Ils devaient intervenir dans un village pour y débusquer des terroristes. Mais malheureusement, la mission tourna au carnage. L'un des soldats descendit par erreur un civil innocent, et leur supérieur, dans la panique de l'action qui venait de se produire, ordonna la suppression totale de vie humaine dans le lieu.
Face à cette horreur, et ne pouvant et ne voulant nullement adhérer à cela, Ambre avait tenté de raisonner son chef. Mais comprenant que celui-ci ne reviendrait pas sur ses ordres, ayant trop peur de laisser des témoins pour relater l’événement, ce qui pourrait à jamais ruiner sa carrière, elle avait tout fait pour cacher des villageois. Une mère, épleurée, lui avait tendu son enfant, une petite fille avec de grands yeux tristes, avant de fuir au coin de la rue. Et Ambre avait été remplit d'effroi en entendant une fusillade éclatée dans cette rue, à l'instant où la femme avait disparu.
Et la jeune femme avait tenté de fuir elle aussi, pour dissimuler la fillette qu'elle tenait, blottie, dans ses bras, à ces hommes qui avaient été ses camarades. Reculant dans une rue, son instinct la prévint trop trad, car à l'instant où elle se retournait, elle se trouva nez à nez avec son supérieur. Celui-ci, un sourire malsain et dingue sur le visage, lui arracha la gamine des bras et, sous ses yeux, lui tira une balle dans la tête. Ambre fut aspergeait de sang. Elle se jeta au prêt de l'enfant, tentant vainement de la ramener à la vie, sachant que c'était déjà trop tard, les larmes coulant de ses yeux sans qu'elle s'en rende compte. Et un coup vint, la plongeant dans le néant. Son supérieur venait de l’assommer d'un coup de crosse derrière le crâne.
A son réveil, elle était de retour à la base. Serré dans son poing droit se trouvait un collier, un œil de Saint Lucie, le collier même de la gamine. Elle l'avait agrippé inconsciemment lorsqu'elle était penchée au dessus de l'enfant et était probablement venu avec lorsque le supérieur l'avait tiré de la.
Ce dernier avait arrangé toute l'histoire, accusant des terroristes de ce massacre et de la blessure d'Ambre. La jeune femme tenta bien de rétablir la vérité, mais personne ne la crut, les membres de son escadrons niant tout en bloc. Cette dernière ne fut jamais plus la même après ça. Rebuffade, insubordination, état d'ivresse, son mental dégringolait aussi rapidement que son échelon. Et vint le moment où on la vira.
Elle se retrouva au chômage, exécutant des boulots de gardiennage par ci par la, depensant toute sa paie en dans les bars minables, devenue insomniaque à force de cauchemarder. Sa vie avait sombré en un enfer dont elle ne voyait pas le bout. Et cela durait depuis plus d'un an. Elle en avait 25.
APPARENCE
Origine : Russe et Française
Taille : 1m80
Poids : 60kg
Couleur des yeux : bleu nuit
Couleur des cheveux : chatain aux reflets roux
Allure : Élancée, presque squelettique pourrait-on dire, Ambre pourrait presque être confondue avec un zombi, les traits du visage tirées, ses grands yeux bleus nuit injectés de sang, ses cheveux châtains coupés court, à la garçonne, toujours en bataille, si un soir il vous arrivait de la croiser dans la rue.
Elle est généralement vêtu d'un débardeur blanc – bleu délavé, serré au corps et faisant ressortir sa poitrine, et d'un collant noir. Protégeant ses poings et ses poignets, elle avait des bandes, à l'origine blanche, mais maintenant plus de toute première fraîcheur. Aux pieds, elle avait gardés ses vieilles rangeurs de l'armée, un des derniers vestiges de son passé militaire.
Lorsqu'elle n'était pas saoule, titubante dans la rue, elle avait une démarche souple, nerveuse, dynamique et silencieuse. Ainsi, si elle ne souhaitait pas être vu, elle passait inaperçue. Aussi discrète et chaloupé qu'une panthère.
Autre : Tatouage tribal d'un phoenix sur l’omoplate droite.
PSYCHOLOGIE
Religion : athée
Goûts : la vodka, les cigarettes, savoir dans un bon fauteuil, un livre sentant le cuir entre les mains.
Sexualité : Hétéro
Passion : Voler, faire du parachute, s'occuper de machine.
Talents : mécanicienne, jouer de l'harmonica.
Description : Depuis les évènements désastreux de sa dernière mission effectuée, Ambre ne supporte plus aucune forme d'autorité, quel quelle soit. Sans pour autant déroger volontairement à la loi, elle ne voit aucun inconvénient à franchir les limites de l’honnêteté.
Si votre regard croise le sien, vous y trouverez une morosité à toute épreuve. Et si vous devenez insistant, c'est son poing que vous risquez de prendre sur la gueule. On frappe avant et on cause après. Tel est, pourrait-on dire, sa devise à présent.D'un habituel solitaire, elle peut facilement devenir irritable et colérique lorsqu'elle se retrouve entouré de gens qu'elle ne connait pas, surtout si ceux-ci deviennent indiscrets. Elle peut rapidement se laisser emporter par ses émotions, mais quelque soit la situation, et malgré le bon sens parfois, elle fait toujours confiance à son instinct.
Ses insomnies et démons intérieurs la rendent morose et ironique. Ainsi, des fois, elle peut faire mal sans s'en rendre compte.
Objet fétiche : collier oeil de sainte Lucie
Autre :Elle est sourde d'une oreille (la droite) depuis le coup porté par son supérieur.
Nom : Sourkov
Prénom : Ambre
Sexe : Féminin
Date de naissance : 17 septembre 1987
AVANT VOTRE VENUE
Lieu d'habitation : Paris - France
Profession : Ex parachutiste de l'armée - chômage
Situation : Célibataire
Biographie : Née d'une mère française, bibliothécaire, et d'un père russe immigré, pilote de tourisme, Ambre a vécu toute son enfance dans la capitale française, entre littérature et récits des actes héroïques du grand oncle Mikhail Ilyich Sourkov, tireur d'élite pendant la Seconde Guerre Mondiale. Celui-ci, engagée dans l'armée rouge, avait été l'un des tireurs d'élites les plus prolifiques de la guerre qui avait vu naître les camps de concentration et la bombe atomique, avec, à son actif, plus de 700 cibles humaines atteintes. Et le père d'Ambre, Ivan Gregorio Sourkov, lui racontait chaque soir, au lieu de lui lire des contes de fées et autres histoires de princesses, les exploits que son frère avait accompli dans le climat froid du pays soviétique, des soirées arrosées à la vodka dans des bouges bondés de fumée âcre de cigarette , d'odeurs rances de transpiration et de rire gras de soldats ivres.Ses parents étaient très portés sur son éducation et son apprentissage de la vie. Ils la laissaient découvrir la vie à sa manière, faire ses propres erreurs et en tirer les conséquences. Bien sur, ils étaient toujours là pour elle, quelque soit le problème.
Chaque soir après l'école, Ambre rejoignait sa mère Alicia à la bibliothèque, à deux pas de l'école, où celle-ci travaillait. Et en attendant que sa mère finisse son travail, après avoir fait ses devoirs, la gamine parcourait les rayons fourmillant de millions de livres, ces portes ouvertes sur d'autres mondes, d'autres horizons, fictifs ou non. Plongée au cœur de ces péripéties, elle se voyait déjà parcourir le monde à bord d'un avion pour découvrir toutes ses choses qui la faisaient rêver.
Oui, elle avait déjà une passion dévorante pour l'aviation. Son père, pilote pour une petite entreprise qui organisait des visites de la capitale en avion, lui avait transmis son amour du vol et de la mécanique. Chaque week-end, elle profitait qu'elle n'avait pas cours, pour se glisser à côté de son père dans le cockpit, et ensemble, ils allaient traverser les nuages, tel un oiseau, ivre de liberté. Et lorsqu'ils avaient fini de s'amuser et étaient redescendus sur terre, son père lui montrait comment bichonner son troisième amour, après sa mère et elle, pour qu'il puisse voler a jamais. Il l'avait aussi initié au saut en parachute, et combien de fois avait-il failli faire une crise cardiaque en voyant sa fille ouvrir son parachute au dernier moment. Mais, ô combien cela le remplissait aussi de joie et de fierté de voir comment elle semblait en parfaite harmonie avec cet élément qu'était l'air.
Combien de fois sa mère les gronda-t-elle lorsqu'elle les voyait rentrer le soir, noir de cambouis, le visage hilare, encore renforcé par la face sévère que leur présentait Alicia. Mais bien souvent, cette dernière ne pouvait resister et finissait par se joindre à eux, « ses petits moteurs sur pattes ».
Ainsi se passa l'enfance d'Ambre, dans une atmosphère bon enfant, au sein d'une famille aimante. Elle avait appris à avoir l'esprit ouvert sur le monde et ne rêvait que de voyage et d'actions.
C'est ainsi qu'à ses 18 ans, elle s'engagea dans l'armée. Au départ, elle avait dû se battre pour prouver qu'elle avait sa place dans ce milieu machiste, toujours surpasser les autres, ne jamais montrer la moindre faiblesse. Et après quelques nez cassés et mise au tapis, les gars avaient commencé à lui faire une place parmi eux et à la respecter. Et rapidement, elle avait monté les échelons, en surprenant plus d'un qui n'aurait jamais pensé qu'une femme puisse surpasser un homme et atteindre un tel niveau. De plus, après avoir postulé plusieurs fois, avec toujours des réponses négatives, prétextant son jeune âge, (tout ça pour ne pas mentionner de discrimination sexuelle selon elle) pour rejoindre les parachutistes, elle avait été enfin acceptée, les hautes sphères ne pouvant plus longtemps faire la sourde oreille face à une telle envolée, surtout qu'elle était chaudement recommandée par ses supérieurs et professeurs.
Et c'est ainsi qu'elle intégra les « Vim Aeris Phoenix », force d'intervention inspirant la crainte et l'admiration parmi les autres soldats. Leur emblème, un phénix tribal s'accompagnait d'une devise en latin, « Nunquam victi, renasci semper », ce qui signifiait « jamais vaincu, toujours renaître ».
Lorsqu'elle était la-haut, en chute libre, elle pensait souvent à ses parents, morts quelques années plus tôt dans un accident de voiture, durant sa vingt-deuxième années d'existence. Cette annonce l'avait beaucoup bouleversée, mais rapidement, elle s'était remis en avant, avec toujours à l'esprit l'idée que ses parents seraient fières d'elle et souhaiteraient qu'elle se tourne toujours vers le futur.
Ils étaient envoyé sur les fronts de guerre et c'est au cours d'une de ces missions que quelque chose se brisa en elle a jamais, ses espoirs et ses croyances réduites en bouilli. Ils devaient intervenir dans un village pour y débusquer des terroristes. Mais malheureusement, la mission tourna au carnage. L'un des soldats descendit par erreur un civil innocent, et leur supérieur, dans la panique de l'action qui venait de se produire, ordonna la suppression totale de vie humaine dans le lieu.
Face à cette horreur, et ne pouvant et ne voulant nullement adhérer à cela, Ambre avait tenté de raisonner son chef. Mais comprenant que celui-ci ne reviendrait pas sur ses ordres, ayant trop peur de laisser des témoins pour relater l’événement, ce qui pourrait à jamais ruiner sa carrière, elle avait tout fait pour cacher des villageois. Une mère, épleurée, lui avait tendu son enfant, une petite fille avec de grands yeux tristes, avant de fuir au coin de la rue. Et Ambre avait été remplit d'effroi en entendant une fusillade éclatée dans cette rue, à l'instant où la femme avait disparu.
Et la jeune femme avait tenté de fuir elle aussi, pour dissimuler la fillette qu'elle tenait, blottie, dans ses bras, à ces hommes qui avaient été ses camarades. Reculant dans une rue, son instinct la prévint trop trad, car à l'instant où elle se retournait, elle se trouva nez à nez avec son supérieur. Celui-ci, un sourire malsain et dingue sur le visage, lui arracha la gamine des bras et, sous ses yeux, lui tira une balle dans la tête. Ambre fut aspergeait de sang. Elle se jeta au prêt de l'enfant, tentant vainement de la ramener à la vie, sachant que c'était déjà trop tard, les larmes coulant de ses yeux sans qu'elle s'en rende compte. Et un coup vint, la plongeant dans le néant. Son supérieur venait de l’assommer d'un coup de crosse derrière le crâne.
A son réveil, elle était de retour à la base. Serré dans son poing droit se trouvait un collier, un œil de Saint Lucie, le collier même de la gamine. Elle l'avait agrippé inconsciemment lorsqu'elle était penchée au dessus de l'enfant et était probablement venu avec lorsque le supérieur l'avait tiré de la.
Ce dernier avait arrangé toute l'histoire, accusant des terroristes de ce massacre et de la blessure d'Ambre. La jeune femme tenta bien de rétablir la vérité, mais personne ne la crut, les membres de son escadrons niant tout en bloc. Cette dernière ne fut jamais plus la même après ça. Rebuffade, insubordination, état d'ivresse, son mental dégringolait aussi rapidement que son échelon. Et vint le moment où on la vira.
Elle se retrouva au chômage, exécutant des boulots de gardiennage par ci par la, depensant toute sa paie en dans les bars minables, devenue insomniaque à force de cauchemarder. Sa vie avait sombré en un enfer dont elle ne voyait pas le bout. Et cela durait depuis plus d'un an. Elle en avait 25.
APPARENCE
Origine : Russe et Française
Taille : 1m80
Poids : 60kg
Couleur des yeux : bleu nuit
Couleur des cheveux : chatain aux reflets roux
Allure : Élancée, presque squelettique pourrait-on dire, Ambre pourrait presque être confondue avec un zombi, les traits du visage tirées, ses grands yeux bleus nuit injectés de sang, ses cheveux châtains coupés court, à la garçonne, toujours en bataille, si un soir il vous arrivait de la croiser dans la rue.
Elle est généralement vêtu d'un débardeur blanc – bleu délavé, serré au corps et faisant ressortir sa poitrine, et d'un collant noir. Protégeant ses poings et ses poignets, elle avait des bandes, à l'origine blanche, mais maintenant plus de toute première fraîcheur. Aux pieds, elle avait gardés ses vieilles rangeurs de l'armée, un des derniers vestiges de son passé militaire.
Lorsqu'elle n'était pas saoule, titubante dans la rue, elle avait une démarche souple, nerveuse, dynamique et silencieuse. Ainsi, si elle ne souhaitait pas être vu, elle passait inaperçue. Aussi discrète et chaloupé qu'une panthère.
Autre : Tatouage tribal d'un phoenix sur l’omoplate droite.
PSYCHOLOGIE
Religion : athée
Goûts : la vodka, les cigarettes, savoir dans un bon fauteuil, un livre sentant le cuir entre les mains.
Sexualité : Hétéro
Passion : Voler, faire du parachute, s'occuper de machine.
Talents : mécanicienne, jouer de l'harmonica.
Description : Depuis les évènements désastreux de sa dernière mission effectuée, Ambre ne supporte plus aucune forme d'autorité, quel quelle soit. Sans pour autant déroger volontairement à la loi, elle ne voit aucun inconvénient à franchir les limites de l’honnêteté.
Si votre regard croise le sien, vous y trouverez une morosité à toute épreuve. Et si vous devenez insistant, c'est son poing que vous risquez de prendre sur la gueule. On frappe avant et on cause après. Tel est, pourrait-on dire, sa devise à présent.D'un habituel solitaire, elle peut facilement devenir irritable et colérique lorsqu'elle se retrouve entouré de gens qu'elle ne connait pas, surtout si ceux-ci deviennent indiscrets. Elle peut rapidement se laisser emporter par ses émotions, mais quelque soit la situation, et malgré le bon sens parfois, elle fait toujours confiance à son instinct.
Ses insomnies et démons intérieurs la rendent morose et ironique. Ainsi, des fois, elle peut faire mal sans s'en rendre compte.
Objet fétiche : collier oeil de sainte Lucie
Autre :Elle est sourde d'une oreille (la droite) depuis le coup porté par son supérieur.
